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PRESSE/MEDIA

"La beauté du jeu de Mara Dobresco séduit d'emblée par une approche très soignée, un toucher d'une souplesse idéale et une sonorité de rêve...tenant un juste milieu entre la fougue fantasque d'Argerich et la profondeur d'Arrau." CLASSICA

" Les mains expertes et l'esprit brûlant de dévotion, libérant une puissante nature féminine et mystique – proche de la sorcellerie ? –, révèlent le singulier jeu de résonance, entre gouttes d'eau, silences secs, écho et l'extraordinaire effet du piano carillonnant comme jamais..." ANACLASE


".. 1001 nuances de la nuit… La pianiste roumaine Mara Dobresco signe en un parcours semé de scintillements nocturnes, l’un de ses programmes les plus personnels. Eloge de l’intime accordé au songe de la nuit, chaque pièce ici réunie et enchaînée, raconte toujours l’éloquence secrète d’un temps suspendu, appel au rêve, à l’enchantement, mais aussi à une écoute  murmurée et intérieure : sous ses doigts enchanteurs, le clavier devient vertige poétique, temps élastique, couleurs de l’invisible : c’est un acte de foi, un jardin secret et une esthétique qui force l’admiration par l’exposition assumée des nuances piano, pianissimo.

 "Soleils de Nuit" redéfinit l’espace (vaste) des champs allusifs dont est capable le piano ; dessine aussi une manière autre de vivre la musique : enchaînant alors sur le mode du repli et de la vie intérieure. La porte ouverte dévoile un continent inexploré qui dans l’interstice opéré, garde tout son mystère. Magistral!

Alexandre Pham/ CD « Soleils de nuit »

élu CLIC de CLASSIQUENEWS 

Les deux sonates de Beethoven (la 14, surnommée Au clair de lune et plus encore la 31,op.110) ont brusquement fait entrer cette soirée dans une autre dimension, à mi-chemin entre la magie de l’instant et le surnaturel. Là où le temps s’arrête, là où la contemplation devient envoûtement, là où les salissures du quotidien s’évanouissent pour se transformer en vibration de l’âme ."  André Soleau/ 

LA ROQUE D'ANTHERON

Mara Dobresco : une poétesse du piano ...
Après une entrée en concert effectué d’une manière poétique sur le « Pour le piano » de Debussy , l’artiste franco-roumaine fait monter la tension note après note, dans un mélange de fermeté et de délicatesse. 
« L’humain et ses souffrances » , voilà un des thèmes privilégiés de son engagement artistique. 
Son jeu évite les boursouflures et les enluminures inutiles pour se concentrer sur le combat de l’artiste contre la matière brut des choses. 
Cela donne un récital à corps et coeur ouverts , avec au final deux rappels consacrés à la musique roumaine. "

LA PROVENCE/ Festival de La Roque d'Antheron

" Toujours soucieuse de rigueur, d’équilibre et d’élégance, Mara Dobresco délivre un discours adapté aux climats nocturnes et mystérieux." DIAPASON

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"Le Fruit du Silence" dans la presse

« La pianiste franco-roumaine s’impose d’emblée par une interprétation qui ne doit rien à l’époque. Sa version de la Sonate nr.30 de Beethoven avive les contrastes sans escamoter les états intermédiaires de l’expression . Même performance enchanteresse pour la nr.31…Deux chefs-d’œuvre d’intériorité explosive. »

Le Monde , Pierre Gervasoni 



 

« Le Fruit du silence », touche juste et vrai.
Le silence est en effet esprit.. Incontestablement, cela, Mara Dobresco le sait très bien. Ce fut la condition de l’interprétation magistrale qui aura attiré l’oreille, à la fois sobre et profonde, sans les éclats par conséquent qui sont hors de propos et qu’on entend trop souvent dans Beethoven. 
…un «monde » du silence, ou le silence comme monde, une provenance résonante qui n’est pas celle de notre monde commun…c’est cela qu’on entend dans ces sonates de Beethoven ainsi que dans les pièces que proposent ce disque étonnant. 


Muzibao, André Hirt


« Mara Dobresco mène un voyage contemplatif à travers les op.109 et op.110 de Beethoven …un récit intime conduit ces épopées spirituelles . Les interprétations des trois œuvres contemporaines révèlent un jeu scintillant , d’une grande inventivité. De l’univers jaillissant de Strasnoy, aux couleurs éphémères d’Hersant, en passant pas la douceur de Vasks, la pianiste nous rappelle que le silence en dit long. »

Revue Pianiste, Melissa Khong

Interview Mara Dobresco:

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